quarta-feira, julho 30, 2008

INTOLERÂNCIA RELIGIOSA EM BIRMINGHAM

o Conselho da cidade de Birmingham bloqueia o acesso dos seus computadores a sites de ateísmo e de bruxaria ou a qualquer outra forma de misticismo, eventualmente também de Paganismo, mas não do Islão ou do Hinduísmo. Curiosamente, Birmingham é das cidades mais multiculturais do Reino Unido, e tem uma forte comunidade muçulmana, como se poder ver aqui e aqui.

A Sociedade Secular Nacional denunciou tal atitude como discriminatória e que estava a considerar a tomada de medidas no âmbito da lei. Afirma esta organização que a decisão do conselho de Birmingham está a violar os direitos dos praticantes de bruxaria, a qual está classificada como crença legítima, nomeadamente no que à Wicca diz respeito.

2 Comments:

Anonymous Anónimo said...

On a « retrouvé » un million cinq cent mille « juifs » en… Inde !
Mercredi, 30 juillet, 2008 ⋅ 12:27:31 t.u. ⋅
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En plus des quelques milliers de Juifs répartis sur le continent indien, un groupe spécifique se réclame aujourd’hui du judaïsme : les « Bné Menaché », reconnus comme étant l’une des dix tribus perdues d’Israël. Portrait d’une communauté religieuse sioniste à l’heure de l’après Goush Katif :

C’est le rabbin Eliyahu Avichail qui a le premier révélé l’existence de cette « tribu perdue » dont l’ancêtre Manmassé ne serait autre que Menaché, fils de Joseph. Eliyahu Avichail, qui a créé en 1975 l’organisation Amishav (« mon peuple revient ») a consacré sa vie à la recherche des tribus perdues et s’est enthousiasmé de la découverte des Bné Menaché, dont les origines juives ne font pour lui aucun doute.

S’ils ne pratiquent le judaïsme que depuis quelques décennies (ils étaient avant cela animistes, puis chrétiens), les « Bné Menaché » affirment en effet être revenus à la religion de leurs ancêtres, se défendant d’avoir adopté une « nouvelle » religion. Ils relatent l’errance de leur tribu à travers la Perse, l’Afghanistan, le Tibet et la Chine, avant leur installation dans les Etats montagneux de Manipur et de Mizoram, au nord-est de l’Inde.

Ces « enfants de Manmassé » seraient en tout un million et demi d’âmes. Convertis au christianisme par les missionnaires britanniques dans les années 1850s, ils ont toutefois conservé une tradition orale et des chants qui rappellent clairement l’histoire juive et les récits bibliques, selon le rabbin David Mamou, chargé par la Rabbanoute d’enquêter sur place sur le judaïsme des Bné Menaché. A l’issue de l’enquête, des juges rabbiniques dépêchés par le grand rabbin sépharade Shlomo Amar l’ont accompagné et confirmé l’identification du groupe au Bné Menaché.

Source: Les Bné Menaché : un enjeu politico-religieux par Nathalie Szerman © Israël Magazine

30 de julho de 2008 às 22:07:00 WEST  
Anonymous Anónimo said...

"INTOLERÂNCIA RELIGIOSA EM BIRMINGHAM"



ANDA-SE DE CAVALO PRA BURRO!!!

31 de julho de 2008 às 05:38:00 WEST  

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